Jeudi 20 janvier 2011

Fausse manœuvre ce jeudi puisque je suis arrivé avec dans l'idée de faire une balade à Bougy et qu'on m'apprit que Michel avait eu la même idée jeudi dernier. Conclusion: "Faut qu'on s'parle !"

Nous nous sommes retrouvés à Monts-en-Bessin pour une boucle quasi uniquement sur le bitume de petites routes désertes qui, calculs faits, faisait plus de 9 km. Nous étions onze dont une petite nouvelle, Marie Thérèse, qui semble avoir pris plaisir à notre compagnie. Chouette !

Les couleurs étaient particulièrement belles sous ce soleil d'hiver, l'atmosphère limpide, nettoyée par les pluies a permis de jolies photos.

Je devais avoir ce matin un coup de téléphone du propriétaire du Château de Brouay que j'ai contacté pour notre goûter de mars mais, pour la seconde fois, il m'a fait faux bond. Je vais donc m'empresser d'oublier ce lieu et nous choisir autre chose. Ne vous inquiétez pas, je gère !

Jeudi prochain, Pierre a accepté de vous prendre en charge; je compte sur vous pour être gentils et prudents !

Jeudi 13 janvier 2011

Ce n'est pas un coup de fatigue qui me tint éloigné des chemins ce jeudi mais la volonté de mon patron de me présenter personnelle- ment ses vœux pour l'année à venir... parmi quelques dizaines d'autres invités. Quelques toasts et un peu de champagne plus loin, je sortais vers 16h pour aller dîner avec une amie dont c'était l'anniversaire. Mon bon cœur me perdra, moi... tant pis !

Jeudi 6 janvier 2011

Bon, ben là... je vais devoir faire court parce que j'ai fait la route jusqu'au rendez-vous juste pour dire bonjour. Un rhume me privait de ma bonne humeur habituelle et j'ai déposé Rolande sur le parking avec quelques autres, me suis assuré qu'on la ramènerait chez elle et me suis retourné dans mon petit chez moi chaud et douillet pour une énième sieste avec mes chaussettes, c'est pour vous dire !

Heureusement que j'ai la bonne médication, celle qui débouche le nez, assainit les bronches et adoucit la lèvre supérieure en même temps !

  Vicks Vaporub fût commercialisé aux Etats Unis en 1890 par un pharmacien du nom de Lunsford Richardson qui avait repris une recette de son beau frère, Joshua Vick. Cette préparation devint très populaire pendant l'épidémie grippale de 1918 et son succès ne s'est jamais démenti. Préparé à partir d'huile de castor, ce remède durera tant qu'on trouvera des castors.. du moins je crois... je n'ai jamais vu presser des castors... à moins qu'ils les relachent après, ce qui expliquerait la forme de la queue !